Le voleur de Bagdad, affiche signée Boris Grinsson, 160 X 240 cm, imprimerie Harfort.
Mise en scène de Ludwig Berger et Michael Powell avec Conrad Veidt, Sabu, June Duprez, John Justin, Rex Ingram, Mary Morris
Mise en scène de Ludwig Berger et Michael Powell avec Conrad Veidt, Sabu, June Duprez, John Justin, Rex Ingram, Mary Morris
Tout débute sur un port, un mendiant aveugle demande la charité au nom d'Allah, son chien pouilleux à ses pieds. Aux passants qui l'interrogent, il déclare être le plus malheureux des princes, trompé, abusé et jeté dans la misère. On se rit de lui, on le presse de questions, et il se plonge alors dans ses souvenirs. La colère gronde dans les rues de Bagdad: le peuple souffre des décisions du palais princier. Le prince Ahmad est accusé d'opprimer les pauvres gens par ses décrets autoritaires, mais lui-même n'en a pas conscience, pris qu'il est par ses jeux. Dans l'ombre le grand vizir Jaffar l'entretient dans son ignorance, c'est lui le seul vrai maître oppresseur, le tyran qui désire renverser son pantin et prendre sa place. Un jour, le prince rencontre dans un jardin de son palais une magnifique femme, princesse et fille unique du sultan. Fasciné, amoureux dès le premier regard, il lui fait une cour passionnée, et elle aussi est touchée dans son cœur. Ils se quittent sur des promesses d'amour, mais une ombre plane : le prince n'a pas révélé son identité car la princesse lui a fait part des rumeurs le concernant. Aussitôt Ahmad va voir son vizir, qui lui conseille d'aller déguisé dans la rue pour connaître son peuple. Tandis que le prince assiste à un prêche enflammé contre son règne, Jaffar envoie la soldatesque l'arrêter et le met en prison. Dans le cachot humide, attendant le sabre du bourreau, Ahmad rencontre un petit voleur, Abu, qui le fait évader. Alors commence un voyage au cœur des légendes du Moyen-Orient : Génie, magie, tapis volant, Pégase, tombeau oublié infesté d'êtres tordus et maléfiques... (Source : Wikipédia).
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